La Maire intérimaire de la ville de Lubumbashi manifeste ouvertement un voeu de se débarrasser  des motards sur la ville de Lubumbashi, elle  démontre sa méchanceté contre les motards sur la ville. Une profonde inquiétude des motocyclistes qui dénonce ses nouvelles mesures prises contre eux.

Laurianne Mwewa désire-t-elle des nouvelles tensions de la part de ces jeunes sans emploi descent qui se débrouillent avec la moto pour subvenir à leurs besoins? Ce jeudi 5 mai 2022, Laurianne Mwewa a signé un autre arrêté urbain fixant les nouvelles dispositions et limites pour la circulation routière des taxi-motos sur la ville de Lubumbashi.

Jadis interdits d'exercer au centre ville entre les avenues Kambove et Likasi, celle qui joue l'intérim du Maire suspendu a élargie le périmètre d'exercice de taxi-motos qui s'étend sur presque toutes les avenues principales de la ville de Lubumbashi dans la commune de Lubumbashi et  des communes voisines.

Laurianne Mwewa n’a pas encore dit son dernier mot dans sa lutte contre la présence des taxi-motos au centre-ville de Lubumbashi. Il est visiblement établi qu'elle pourrait un jour, interdire carrément les motos de circuler sur toute l'étendue de la ville de Lubumbashi. Pense un motard qui s'est confié à notre rédaction. 

Dans son arrêté, la Jeune Sœur au Bishop Mwewa fixe l'amande de 50.000 FC soit 25 dollars américains contre tout motard (et son client) qui va violer ces mesures. En plus, la moto sera saisie et mise en fourrière pour une durée de deux semaines. 

Laurianne Mwewa veut manifestement créer des nouvelles tensions juste quelques jours après l'apaisement observé après la table ronde pour la paix et la cohabitation pacifique entre les Communautés. 

Non seulement que son premier arrêté est loin d'être respecté par les motards et la population qui recourt à ce transport, Laurianne Mwewa met les motards et la population devant un choix très difficile à respecter en considérant la difficulté du transport en commun au centre ville de Lubumbashi. Ce qui pourrait créer d'une part une frustration des motards et d'autre part une atteinte à la liberté de se mouvoir de tout citoyen congolais. 

Le maire intérimaire de Lubumbashi, Lauriane Mwewa déclare dans son arrêté que les motards qui veulent travailler dans sa ville doivent se soumettre à toutes les mesures dont la formation obligatoire sur l'apprentissage, les règles de circulation dans les agglomérations ; le port obligatoire des casques tant pour le conducteur que pour le passager ; le respect de timing pour l’exploitation de ce service de transport en commun qui doit commencer à 5h00 pour se terminer à 20 heures.