Kinshasa ce mardi 19 mai 2020, la Ministre des Affaires étrangères, Marie Tumba Nzeza, et M. Bouzekri Rmili, Ambassadeur de la Tunisie en RDC, ont évoqué lundi à Kinshasa, le dossier lié au rapatriement,   dans un bref délai des ressortissants de leurs pays respectifs  bloqués pour cause de coronavirus 
Il  était qu'es du rapatriement des ressortissants Congolais qui sont en Tunisie, et nous avons des ressortissants Tunisiens qui sont ici en RDC.

Nous avons parlé de la possibilité d'évacuer les Congolais qui sont en Tunisie", a déclaré le diplomate tunisien à l'issue des échanges.

Comme vous le savez ,le Chef d'État a promis  à ses ressortissants bloqués un peu partout dans le monde de les rapatrier ici en RDC, j'ai exprimé à Mme la ministre d' État tout notre soutien et nous allons faire ce rapatriement", a indiqué l'ambassadeur tunisien, avant de révéler" il y aura un vol de 1er juin 2020  de la compagnie aérienne  tunisienne et nous sommes à la disposition de nos frères et soeurs de la RDC".

Rappelons que le gouvernement de RDC poursuit ses opérations de rapatriement de ses fils et filles bloqués à l'étranger pour cause de coronavirus.
Le gouvernement a déjà rapatrié ses compatriotes qui étaient bloqués à Dubaï aux Émirats  arabes, à Abidjan en Côte d'Ivoire, au Congo Brazzaville et Addis-Abeba... D'autres pays comme la Turquie et Afrique du Sud sont déjà dans la ligne de mire des services du ministère des Affaires étrangères.
Se refusant de faire, pour le moment le bilan de rapatriement, la patronne de  la diplomatie Congolais a expliqué :" nous  sommes encore en pleine action et loin d'avoir terminé ", avant d'ajouter " je crois que nous allons nous exprimer quand nous allons satisfaire nos compatriotes qui sont en Tunisie et ceux qui sont en Afrique du Sud. Pour l' Afrique. c'est quasiment réglé et ce sera vraisemblablement pour cette semaine. Pour la Turquie c'est ça le vrai casse-tête. Je le dis parce que je crois que nos compatriotes qui sont en Turquie m'ont plusieurs appelée. Jusqu'à présent nous sommes encore en train de chercher des voies et moyens pour voir comment les aider à revenir au pays comme tous les autres compatriotes.

Rémy Mulonda